Cette première séance est en partie dédiée à la présentation des axes de travail 2024/25. Nous revenons également sur ce que nous avons précédemment défini comme la figure de l’homme. Loin de désigner le seul périmètre de l’individu, cette figure s’incarne davantage dans les dimensions matérielles de l’urbanisme, de l’habitat, des transports, de la consommation et de l’économie, c’est-à-dire dans un ensemble de processus concrets qui ne se réduisent certainement pas à la seule personne humaine.
C’est pourquoi la fin de l’anthropocentrisme ne peut être ni comprise ni envisagée comme un changement d’attitude des individus. Face aux défis que pose notre époque, cela serait donc une erreur de se demander une nouvelle fois ce que les individus peuvent et doivent faire.