À l’occasion de la sortie du livre « Les nouvelles figures de l’agir – Penser et s’engager depuis le vivant »
Le Collectif Malgré Tout et les Éditions La Découverte en collaboration avec Rencontres et Débats Autrement vous invitent à une soirée de présentation et d’échanges avec les auteurs Miguel Benasayag et Bastien Cany.
« Le monde est devenu complexe. Ce constat, mille fois énoncé sur le ton de l’évidence, est à ce point partagé que plus personne ne le questionne. Mais en quoi les arbres, les villes, les écosystèmes comme l’ensemble des êtres et des choses qui nous entourent, y compris nous-mêmes, se seraient transformés sous la figure de la complexité ? Pour les auteurs, cette complexité ne relève ni d’un récit ni d’une théorie, mais d’une transformation concrète de nos territoires. Plus qu’une grille de lecture, le devenir complexe du monde désigne de profonds changements matériels dans l’étoffe même de la réalité. Comment se manifeste ce caractère matériel ? Quels défis lance-t-il à l’agir ? Alors qu’émergent partout de nouvelles formes de résistance face la destruction du vivant, c’est à ces questions qu’entend répondre ce livre, pour battre en brèche le sentiment d’impuissance qui menace à tout moment de nous rattraper. Plutôt que d’appeler au retour de la figure de l’agir cartésien qui se prétend maître et possesseur de la nature, les auteurs proposent de revisiter la phénoménologie en déplaçant le rôle central qu’elle accorde à la conscience vers les corps. Un pas de côté qui se veut également une proposition pour une nouvelle éthique de l’acte, où la question est moins de savoir comment agir que de comprendre quelles seront les nouvelles figures de l’agir. Un essai engagé et stimulant, explorant les possibilités de renouer avec un agir puissant dans un monde où les phénomènes comme les effets de nos actes sont marqués du sceau de l’incertitude. »
Miguel Benasayag et Bastien Cany Autour des auteurs
Philosophe, psychanalyste, ancien résistant guévariste, Miguel Benasayag est l’auteur de nombreux ouvrages, dont Connaître est agir (La Découverte, 2006), Éloge du conflit (La Découverte, 2007) et Fonctionner ou exister ? (Le Pommier, 2018).
Journaliste, formé à l’histoire contemporaine, Bastien Cany anime avec Angélique Del Rey et Miguel Benasayag le collectif Malgré Tout.
Publicado en « Red editorial« : Después de Guernica. Encrucijadas políticas de nuestro presente, es un ciclo de conversaciones en torno a una serie de ejes que conforman la múltiple y abierta agenda popular, el agite desde abajo y su relación con las instituciones, la macroeconomía, los sindicatos, la política de palacio y la politicidad de las vidas. Tres invitades conversan sobre una agenda específica, que les concierte especialmente, y uno o una de ellos se presta, además, para el rol de la presentación y moderación.
À l’occasion de la sortie du livre « Les nouvelles figures de l’agir – Penser et s’engager depuis le vivant »
Le Collectif Malgré Tout et les Éditions La Découverte en collaboration avec Rencontres et Débats Autrement vous invitent à une soirée de présentation et d’échanges avec les auteurs Miguel Benasayag et Bastien Cany.
Historico defensor y difusor de la cultura y de la lingua quechua, era docente de la lengua quechua en el Centro Universitario de Idiomas. Noticia publiada sobre el periodico Agencia Paco Urondo:
Nous vous rappelons que la prochaine séance du séminaire « Comprendre et agir dans la complexité » aura lieu le mercredi 14 avril à 20h30 sur zoom. Pour voir les autres séances, cliquer ici.
Todo ejercicio de poder, todo gobierno se para sobre lo posible, pero el progresismo latinoamericano hizo de ese lugar una narrativa militante. La figura de la “correlación de fuerzas” se utiliza de manera abstracta y amañada. Frase de mago, abracadabra que, al pronunciarse, nos paraliza. Le pone nombre, justificándola, a la desmovilización social.
Para leer la segunda parte del articulo escrito por Ariel Pennisi y Salvador Shavelzon y publiado en el quotidiano « El Salto », haga clic aquí.
¿Hay un “There is no alternative” populista? ¿Es hoy el repliegue bajo la forma del “mal menor” de turno, una vez más, la cara estratégica de un oficialismo frágil que enfrenta a un enemigo construido no solo como menos frágil, sino inmensamente poderoso?