C’est cet homme que nous sommes conviés, enseignants que nous sommes, à promouvoir, à « fabriquer », à lancer sur le marché de l’embauche.
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Chroniques
CptA, il torto della presenza
Ogni volta che varchiamo una frontiera subiamo una destabilizzazione psichica, viviamo una crisi di linguaggio , aveva detto Dennis Adams, artista americano che non a caso ha lavorato anche sul controllo sociale nelle arti contemporanee. La nostra esperienza di fronte alla “nominazione ufficiale” dei luoghi di eccezione che tratteremo oggi, è in parte testimonianza della stessa crisi, provocata, tuttavia, non soltanto dal varco (per noi impossibile) delle nuove frontiere interne alle stesse città in cui viviamo ma, ancor prima, dalla loro stessa creazione e dalle loro strategie di nominazione. Gli acronimi che identificano tali luoghi : Cpt(A), centri di permanenza temporanea ed assistenza, Cdi, centri di identificazione così come i Centri di accoglienza costituiscono per chi ha condotto le ricerche prese in considerazione una sorta di “trappole semantiche”, adottando un’espressione che ci è stata suggerita. Nella seconda parte della lezione, Ivan approfondirà questa tematica in maniera più puntuale… Adesso vorrei portare alla presenza questi luoghi inaccessibili, illustrarne la provenienza, l’emergenza e l’interpretazione che più ci è sembrata efficace per comprenderli.Lire la suite
Droits ou privilèges ?
Liberté et libération
Petites réflexions sur la complexité
Après Nairobi, quelques questions…
Si rien n’autorise un bilan hâtif et péremptoire, on peut s’interroger sur quelques points où le processus des FSM paraît faire du sur-place. Trois questions émergent après Nairobi, trois enjeux dont il importe de se saisir.
Un « post’it » personnalisé
Les sans…
Ce texte a été publié pour la première fois en octobre 2006
La crise structurelle que vivent nos sociétés, bien qu’elle prenne des formes différentes dans les pays du Nord et du Sud, a partout le même sens : il n’est raisonnablement plus possible de croire au développement qu’incarnent les pays du Nord et vers lequel tendent ceux du Sud. Lire la suite
Centres sociaux : quand le « pouvoir d’agir » suscite l’engagement
CASCINA LA GHIAIA
Il luogo, la vita, la scuola popolare
Il furgoncino si perde nelle langhe piemontesi. Lasciamo l’ultimo paese segnato sulla carta, Berzano S.Pietro, e ci inoltriamo seguendo l’indicazione “Cascina la Ghiaia – Agriturismo Bella Ciao”. Pioviccica e la strada diventa un sentiero. Ancora 3 km e ci siamo. Un largo spiazzo di ghiaia, un edificio costruito fresco fresco, un centinaio di faraone che ci attraversano la strada – qualcuna si ferma altezzosa a scrutarci. E dietro l’anima della cascina : la casa di Lina Ferrero, o meglio Lina in persona, donna, 71 anni, treccia bianca lunga che finisce grigia e sottile con intorno una vecchia e operosa casa di campagna. Tutto gira intorno a lei e al suo luogo, una cucina con un grande tavolo al centro illuminato da poca luce e di tanti oggetti da lavoro. Stracci pentoloni frullatore tinozze libri piatti penne carta. E intorno a questo mondo da contadini con libri di cui Lina è regina gironzola Fabrizio, omone in tuta blu da operaio e occhiali spessi dietro ai quali ci guarda cupo – cupo non è solo quando fissa la mia lieve scollatura. Vicino a me il secchio dell’acqua usata da dare alle piante, secchietto di cibo avanzato da dare agli animali e acqua sorgiva delle langhe da bere.Lire la suite
CHI NON LAVORA NON FA L’AMORE
Il lavoro rende liberi. Arbeit macht frei scritto all’entrata di Auschwitz, luogo di libera operosità generato da libere menti tedesche. Il lavoro è fatica – vaco a faticà – dicono a Napoli quelli che ti mettono la verità in faccia, giusta giusta nella parola che pronunciano. E se qualcuno (o meglio qualcuna, Hannah Arendt *) ci mette in guardia dall’onnipervasività del lavorare nei confronti delle altre forme dell’agire umano, è certo che oggi siamo grondanti di questa agognata libertà individuale frutto esclusivo di chi produce, fatica, inghiotte amarezze, sgomita al momento giusto (col più debole) e consuma sempre.Lire la suite
Ségolène et la tradition
Le faux sérieux comme impuissance
Au « compañero » Félix

Qu’est-ce que le foulard voile ?
Les hommes se croient libres pour la seule raison qu’il sont conscients de leurs actions et ignorants des causes par lesquelles ils sont déterminés »Lire la suite
Projet de recherche autour de la famille
Solidarité, l’inévitable impuissance
Un coupable idéal : le point de vue des “sans” à propos des émeutes de décembre
L’ a-communication, sens et référence
Au fil de la plume…
Alors, heureux ?
Le « vivre avec » : concept et projet
Manifeste de l’université populaire de la cité des 4000
Crise de la société, crise du travail social
Immigration, le problème imaginaire.
Les nouvelles luttes politiques en Amérique latine
Les Zapatistes mexicains, le mouvement de paysans sans terre du Brésil (MST), La Fédération Nationale Paysanne du Paraguay (Federación Nacional Campesina), le Rassemblement bolivien pour la Souveraineté des Villages (Asamblea para la Soberanía de los Pueblos : ASP)… Un nouveau mouvement révolutionnaire, hétérogène, démocratique et autogestionnaire parcourt l’Amérique Latine. Là-bas, les protestations sociales se mêlent aux revendications ethniques et féministes. Elles n’obéissent plus à une avant-garde bureaucratique chargée d’évaluer si les « conditions objectives » sont réunies pour réaliser une grève ou une occupation de terres, pour déterminer avec quel parti de la bourgeoisie nationale il faudrait faire alliance ou pour quel nouveau maître libérateur il serait bon de voter aux prochaines élections.Lire la suite
Pérou
Pour dénoncer le massacre quotidien dont sont victimes les peuples du monde entier et en particulier ceux du Tiers-Monde, un commando de rebelles a occupé pendant quatre mois l’ambassade du Japon à Lima. Là-bas, en effet, le Japon est en rivalité avec les États-Unis dans la course vers la spoliation et l’oppression du peuple péruvien.Lire la suite
A propos de la parution de pour une nouvelle radicalité
Et pourtant… Au Chiapas ou en Afrique du Sud, en Belgique ou en France, les sans-terre, les sans-papiers, les sans-travail, tous ces « sans » là, paraissent ignorer le diktat des grands de ce monde. En prenant appui sur l’analyse de ces nouvelles formes de radicalité, et sur l’étude critique d’expériences plus anciennes (notamment des guérillas d’Amérique latine), les auteurs proposent dans ce livre une critique fondamentale du messianisme révolutionnaire et de la pensée classique de l’émancipation, qui ne concevait la liberté que comme la conséquence de la prise du pouvoir. Et ils explorent les voies d’une autre radicalité, plus porteuse de changements et d’espoir, et qui saurait éviter les pièges du pouvoir : celle d’une pratique de la liberté toujours en actes, ici et maintenant, et qui ne serait plus simple promesse.
Vous avez dit État ?
On tue en Belgique
Centre social en Belgique
Joignant l’acte à la parole le « collectif sans-nom » a investi un immeuble vide dans le quartier de St Gilles à Bruxelles. C’est ainsi que depuis un mois se sont déroulés dans cet immeuble des « carrefours des luttes » réunissant un peu près tout ce qui bouge en Belgique, mais aussi des concerts, des expos, des pièces de théâtre, des activités pour les enfants, des actions sur le quartier, des rencontres en tout genre, des complots divers et variés, etc.
Bref, il s’agit d’essayer de construire des nouvelles figures de l’engagement, de potentialiser et de désenclaver toutes les pratiques susceptibles de créer des mondes possibles, c’est à dire de développer la vie.
Français, encore un effort…
Qui douterait que la France, ou plutôt, le monde entier s’apprête à célébrer un événement sportif et historique majeur ? Qui douterait qu’il s’agit là d’un événement exclusivement heureux et positif, bref, d’une « grande fête » ? Qui, alors, oserait aller à l’encontre de la liesse générale à laquelle nous nous préparons tous ?Lire la suite